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France Stratégie - Quelle finalité pour l'école ? - Dossier de présentation - 0 views

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    La crise de sens qui traverse l'École interroge le nombre et la nature des missions qui lui sont confiées. Quelle école voulons-nous ? Question éminemment politique qui exige de disposer en amont d'une vision globale de l'École et de ses finalités possibles. Rapport - Quelle finalité pour quelle École ? (PDF - 1.09 Mo ) Dossier de presse - Quelle finalité pour quelle École ? (PDF - 2.91 Mo ) Auteur(s) Son Thierry Ly De la logique « méritocratique » Notre école va mal. On en attend trop, or elle ne peut pas tout faire. C'est en somme le constat dont est parti le groupe de travail à l'origine de ce rapport. L'École est aujourd'hui prise en tenaille entre plusieurs objectifs, parfois contradictoires. Elle se doit avant tout d'être garante de l'égalité des chances en offrant à tous les élèves le même enseignement. C'est la logique méritocratique à la base de notre contrat social. Assurer une compétition scolaire (formellement) équitable légitime une distribution des places dans la société, déterminée ensuite, plus qu'ailleurs en France, par le diplôme. Mais il lui est aussi demandé de faire de tous les élèves des citoyens éclairés et des adultes employables, d'assurer la mixité sociale, de sensibiliser à l'écologie… La force et le nombre de ces attentes, légitimes, questionnent la primauté accordée à la mission de sélection méritocratique des élites par l'École. Cette priorité implicite rend en effet toute autre finalité, au mieux secondaire, au pire impraticable, notamment parce qu'elle suppose un enseignement uniforme. La contradiction justifie de poser clairement la question des finalités que nous souhaitons assigner au système scolaire. Quelle école voulons-nous ? Que serait-elle surtout si l'objectif de sélection était retardé et que le système pouvait être organisé autrement que par et pour la compétition ? Bref, si « tout ne s'y jouait plus » ? Des alternatives p
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France Stratégie - Quelle finalité pour l'école ? - Rapport complet - 0 views

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    La crise de sens qui traverse l'École interroge le nombre et la nature des missions qui lui sont confiées. Quelle école voulons-nous ? Question éminemment politique qui exige de disposer en amont d'une vision globale de l'École et de ses finalités possibles. De la logique « méritocratique » Notre école va mal. On en attend trop, or elle ne peut pas tout faire. C'est en somme le constat dont est parti le groupe de travail à l'origine de ce rapport. L'École est aujourd'hui prise en tenaille entre plusieurs objectifs, parfois contradictoires. Elle se doit avant tout d'être garante de l'égalité des chances en offrant à tous les élèves le même enseignement. C'est la logique méritocratique à la base de notre contrat social. Assurer une compétition scolaire (formellement) équitable légitime une distribution des places dans la société, déterminée ensuite, plus qu'ailleurs en France, par le diplôme. Mais il lui est aussi demandé de faire de tous les élèves des citoyens éclairés et des adultes employables, d'assurer la mixité sociale, de sensibiliser à l'écologie… La force et le nombre de ces attentes, légitimes, questionnent la primauté accordée à la mission de sélection méritocratique des élites par l'École. Cette priorité implicite rend en effet toute autre finalité, au mieux secondaire, au pire impraticable, notamment parce qu'elle suppose un enseignement uniforme. La contradiction justifie de poser clairement la question des finalités que nous souhaitons assigner au système scolaire. Quelle école voulons-nous ? Que serait-elle surtout si l'objectif de sélection était retardé et que le système pouvait être organisé autrement que par et pour la compétition ? Bref, si « tout ne s'y jouait plus » ? Des alternatives possibles C'est à cette question que répond le rapport en examinant trois modèles idéaux d'école répondant, chacun, à une finalité alternative : prépare
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France Stratégie - Actions critiques - Quelle autonomie pour les établissemen... - 1 views

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    Les résultats insatisfaisants de notre système éducatif et les impasses que rencontre aujourd'hui son pilotage centralisé conduisent à rechercher une plus grande autonomie des établissements scolaires. Ce concept peut cependant se traduire par des approches très différentes. La première repose sur une plus forte capacité d'auto-organisation locale, sans bouleverser le cadre existant. La deuxième instaure une modulation des moyens et des marges de manœuvre accrues pour les chefs d'établissement. La troisième promeut une nouvelle offre d'établissements privés ou proches du fonctionnement du privé couplée à la mise en place d'outils pour lutter contre le risque de sélection des élèves. Quelle réforme prioritaire engager en matière de politique éducative ? Les difficultés à décliner les orientations nationales au niveau local, le maintien d'une forte uniformité de l'enseignement malgré l'accroissement des inégalités sociales et territoriales entre élèves et les limites des dispositifs mis en œuvre pour remédier aux situations les plus défavorables plaident pour engager le système éducatif français dans la voie de l'autonomie, en tirant les leçons des expériences étrangères. Depuis les années 1980, afin d'améliorer la capacité des systèmes scolaires à remplir leur mission en s'ajustant aux besoins locaux et à l'hétérogénéité des publics, la majorité des pays développés ont redistribué les responsabilités dans les systèmes éducatifs, par la décentralisation politique vers les autorités locales, la déconcentration vers des échelons administratifs locaux ou les établissements eux-mêmes. Ces orientations ont pu être combinées : une large autonomie des établissements peut être réalisée avec un encadrement national (cas des Pays-Bas ou de l'Irlande) ou dans des systèmes décentralisés (cas des pays nordiques ou du Royaume-Uni). Notre pays s'est globalement tenu en retrai
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Ministère de l'Education nationale - Repères et références statistiques 2020 - 0 views

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    Résumé de la Caisse des dépôts À quoi ressemble le paysage éducatif français ? C'est à cette - très large - question que répond - tout aussi largement - le rapport "Répères et références statistiques 2020", récemment publié par la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) du ministère de l'Éducation nationale. À la rentrée 2019, l'ensemble du système éducatif français comptait 15,8 millions d'élèves, étudiants et apprentis, soit 50.000 de plus qu'en 2018. Cette hausse s'explique par l'augmentation des effectifs du supérieur, et notamment des apprentis (+13,4%). Dans le secondaire, la hausse est minime (0,6%) et portée par les effectifs de collégiens (+1,1%), quand ceux des formations professionnelles en lycée et des formations générales et technologiques sont en recul (- 0,8% et -0,1%). Quant aux effectifs du premier degré, ils diminuent pour la troisième année consécutive : -1,2% en maternelle et -0,4% en élémentaire. Du simple au double La répartition de ces effectifs sur le territoire en dit beaucoup sur les dynamiques démographiques. En métropole, le département de la Creuse affiche le taux le plus faible avec seulement 14,5% de la population scolarisée. La Corse-du-Sud (14,9%), le Lot (15,5%), le Cantal (16%) et la Dordogne (16,1%) ne sont guère mieux lotis. À l'opposé, on trouve 31,6% de la population scolarisés à Paris, un résultat qui s'explique par le nombre important d'étudiants dans la capitale. Plusieurs départements sont portés par l'attractivité des pôles d'enseignement supérieur implantés dans leur métropole : le Rhône (Lyon) dénombre 28,6% de la population scolarisée, la Meurthe-et-Moselle (Nancy) 27,3%, le Nord (Lille) 26,8%, l'Ille-et-Vilaine (Rennes) 26,6% et la Haute-Garonne (Toulouse) 25,8%. Sur un an, les plus fortes baisses d'effectifs sont enregistrées en Martinique (-3,1%), Guadeloupe (-2,4%), Meuse (-2,5%), Ardennes (-1,8%) et Nièv
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Ministère de l'Education nationale - Atlas des risques sociaux d'échec scolai... - 0 views

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    Édition 2016, données 2011 Les jeunes sortants sans diplôme du système éducatif sont très fortement exposés au chômage et au sous-emploi. En cette période de crise, leurs difficultés vont bien au-delà de la période d'insertion. Même si une partie d'entre eux acquiert de façon différée une qualification, leur destinée professionnelle est fortement marquée par l'insécurité de l'emploi ou/et des emplois de mauvaise qualité. De par son approche territoriale, la deuxième édition de l'Atlas que viennent de coéditer le centre associé au Céreq pour la région Normandie - laboratoire Espaces et Sociétés, UMR CNRS ESO, et la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) - ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, apporte un éclairage original sur la situation de chaque académie. L'ouvrage décrit finement la situation de chaque académie d'un double point de vue : il analyse et cartographie, à l'échelon cantonal, les facteurs plus ou moins propices à la réussite scolaire et les difficultés qui peuvent conduire à l'abandon précoce des études. La première parution de l'Atlas en 2014 a donné lieu à de nombreux échanges dans les différentes académies et régions. Une forte demande s'est exprimée pour son actualisation et en particulier pour prendre la mesure des effets de la crise économique et sociale. Les données ont été actualisées essentiellement à partir du recensement de 2011. De plus, cette édition est enrichie par des données inédites sur les départements d'Outre-Mer. Pour observer les spécificités de chaque académie et leurs disparités internes en matière de risques sociaux et de décrochage scolaire, des indicateurs de contextes territoriaux combinent sept variables susceptibles d'agir sur l'échec scolaire et l'orientation des élèves : le niveau de revenu des ménages, le chômage et la précarit
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France Stratégie - Document de travail - Quand la scolarisation à 2 ans n'a p... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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France Stratégie - Synthèse - Quand la scolarisation à 2 ans n'a pas les effe... - 0 views

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    La politique d'accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales. Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d'élèves de moins de 3 ans préscolarisés n'a augmenté que d'un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d'atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d'un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). La France est, avec la Belgique francophone, le seul pays de l'OCDE à scolariser les enfants aussi tôt. L'accueil des jeunes enfants dans notre pays repose en effet sur un système « dual », partagé entre l'accueil en école maternelle d'un côté, sous la responsabilité du ministère de l'Éducation nationale, et la politique d'accueil des plus jeunes enfants de l'autre, qui relève de la sphère des politiques sociales, lesquelles sont partiellement décentralisées. Cette dualité est source de critiques, tout comme la scolarisation précoce fait - ou a pu faire - débat. Les premières expérimentations de dispositifs spécifiques sont apparues en 1999 avec les classes passerelles, mais sans qu'une réflexion systématique sur le sens de la scolarisation à 2 ans n'accompagne cette politique de préscolarisation. On a donc cherché ici à mesurer si entrer plus tôt et rester plus longtemps en maternelle permet d'améliorer la réussite scolaire des élèves. Pour y parvenir, on exploite les données du panel d'élèves entrés pour la première fois en 6e en 2007 (MENESR-DEPP). Cette enquête longitudinale suit le parcours d'un échantillon de 35 000 élèves pour lesq
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France Stratégie - Un nouvel âge pour l'école maternelle ? - 0 views

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    Pionnière dans l'accueil universel des enfants, l'école maternelle française a longtemps bénéficié d'une excellente réputation, au point de servir de modèle à l'étranger. Aujourd'hui, une comparaison européenne conduit à un tableau quelque peu différent, pour trois raisons. Tout d'abord, la France présente une dépense par élève relativement faible et des classes de taille importante. Ensuite, notre école maternelle se caractérise par une forte et constante focalisation sur la préparation aux apprentissages formels de l'école élémentaire, que l'on ne retrouve pas - avec une telle ampleur -chez nos voisins. Une inflexion récente et des textes o ciels qui appellent à prendre en compte le développement de l'enfant dans toutes ses dimensions - sensorielle, motrice, cognitive, sociale et affective - n'ont pas effacé cette « primarisation » de la maternelle. La formation des enseignants de maternelle, poussée mais peu spécialisée, n'a fait qu'accentuer la tendance. Enfin, le modèle français, dual, avec une forte césure entre l'accueil des 0-3 ans et la préscolarisation à partir de cet âge, apparaît désormais de plus en plus isolé face au développement en Europe des systèmes « intégrés » d'accueil du jeune enfant, qui traitent comme un bloc la période allant de la première année à l'âge de la scolarité obligatoire. Comment tirer parti de ces constats pour dessiner l'avenir de l'école maternelle française ? À court terme, il serait pertinent d'expérimenter un renforcement de l'encadrement des élèves, en le hissant à la moyenne de l'OCDE. Il conviendrait aussi d'améliorer la spécialisation des enseignants et la qualification des agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem), et de mieux accompagner les innovations pédagogiques initiées par les enseignants. À plus long terme, l'évolution vers un système intégré, regroupant progressivement
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Ministère de l'Education nationale - Trajectoires scolaires des enfants d'imm... - 0 views

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    Les inégalités d'éducation figurent au coeur des débats politiques et sociaux. Pourtant, les inégalités de genre croisées à celles d'origine dans la scolarité ont été peu explorées. Comment se combinent l'origine migratoire et le genre dans la construction des inégalités scolaires ? Cet article apporte des résultats récents sur les trajectoires scolaires des enfants d'immigrés nés en France, jusqu'au baccalauréat, à partir du panel de la DEPP d'élèves entrés en sixième en 2007. Les effets combinés des origines - migratoires, sociales - et du genre sont analysés au fil de la scolarité, à l'aune de divers indicateurs : performances en sixième et en troisième, aspirations, orientations, diplômes. Des modèles statistiques visent à démêler leurs effets croisés, des caractéristiques sociodémographiques, du parcours scolaire antérieur, du contexte scolaire et des aspirations. Les trajectoires scolaires apparaissent genrées et différenciées selon l'origine. L'avantage scolaire des filles est mis en évidence quelle que soit l'origine, au fil de la scolarité. Les écarts sexués sont d'inégale amplitude selon l'origine. Sont démontrés, par exemple, la réussite des enfants d'origine asiatique, exceptionnelle chez les filles, dès l'école primaire, et a contrario, les difficultés précoces et durables des garçons, notamment d'origine africaine. Le taux de bacheliers a particulièrement augmenté, avec le développement du baccalauréat professionnel. À l'augmentation du taux de réussite, plus élevé parmi les filles, s'ajoute une forte différenciation à la fois selon l'origine, le genre, le type de baccalauréat et sa série. Si globalement, les enfants d'immigrés obtiennent moins le baccalauréat, certains groupes l'obtiennent autant, voire davantage. Dans les familles immigrées, les aspirations scolaires toujours très élevées, et supérieures pour les filles, contribuent à lâ
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DEPP - Présentation générale de notre système éducatif : L'état de l'École - 0 views

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    La publication L'état de l'École présente depuis 1992 une synthèse d'indicateurs statistiques qui apparaissent essentiels pour analyser notre système éducatif et apprécier les politiques publiques mises en oeuvre. Ces indicateurs, se renouvelant régulièrement, sont présentés le plus souvent avec une perspective temporelle, mais aussi internationale. Ils sont déclinés, lorsque cela est pertinent, selon l'origine sociale des élèves, le territoire où ils vivent et selon l'entrée filles-garçons. L'objectif est d'alimenter le débat public autour de l'école, d'enrichir l'aide au pilotage et de contribuer à l'évaluation du système éducatif français. En 2018, la population scolaire diminue très légèrement avec une baisse marquée dans le premier degré liée à la forte diminution des naissances des dernières années. L'effort de la nation pour l'École est important, mais la France apparaît encore en retrait sur le premier degré par rapport à la plupart des autres pays européens. En termes de résultats, sur le long terme, l'école a permis de diplômer et de qualifier beaucoup plus de jeunes, mais sans toutefois parvenir à faire disparaître les inégalités, en particulier celles liées à l'origine sociale, mais aussi entre filles et garçons ou territoriales. Enfin, toutes les évaluations de compétences mettent en évidence un pourcentage entre 15 % et 20 % d'élèves en forte difficulté scolaire et ceci très tôt dans leur scolarité.
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The Conversation - L'école inclusive peut-elle profiter à tous les élèves ? - 0 views

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    "L'école inclusive a pour objectif de permettre à tous les élèves « quels que soient leurs handicaps et leurs difficultés » d'apprendre et d'avoir « une chance égale » de réussir (Unesco). Depuis plusieurs années, on peut constater une forte volonté politique pour la mise en place de cette école à la fois à l'échelle internationale et nationale. En France, certaines circulaires, notamment celle de 2016, soutiennent ces mesures législatives en réaffirmant que « le droit à l'éducation pour tous les enfants, quel que soit leur handicap, est un droit fondamental » et que « chaque école a vocation à accueillir tous les enfants, quels que soient leurs besoins » Malgré cette forte volonté politique, force est de constater que de nombreux obstacles persistent. La difficulté de mise en place de l'éducation inclusive s'explique par de nombreuses variables comme, par exemple, le faible sentiment de compétence des enseignants, leur manque de formation ou encore le manque de soutien perçu du l'institution."
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Commissiriat général à l'égalité des territoires - Education et enseignement ... - 0 views

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    De 8,2 % à 27,8 %, c'est l'évolution de la part des plus de 25 ans non-scolarisés diplômés du supérieur en France métropolitaine entre 1982 et 2013. Les Français sont donc plus éduqués dans la moyenne mais les différences locales demeurent fortes, selon l'étude publiée par l'Observatoire des territoires fin janvier 2018. La répartition spatiale des diplômés n'a pas beaucoup évolué : - ils sont 32 % dans les gros pôles urbains - contre 17 % dans les communes isolées ; Le taux de maîtrise de la langue à l'entrée en 6e est très variable selon les académies et ces variations sont corrélées à la répartition géographique des difficultés socio-économiques. Dans les métropoles, "l'indice de Duncan" est supérieur à 50 % : cela signifie que plus de la moitié des élèves très favorisés devrait changer de collège pour parvenir à une situation de mixité avec les collégiens défavorisés.
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Ensemble, l'éducation | La tribune des Semaines - 1 views

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    "l est vrai qu'en France nous avons assimilé l'éducation à l'Éducation nationale - et donc à l'école. Nous avons concentré sur elle des attentes énormes et, pour tout dire, assez contradictoires. Nous lui demandons de transmettre des savoirs, de préparer à l'insertion professionnelle, de former des citoyens, de compenser les manques familiaux, et même maintenant de lutter contre le réchauffement climatique. Dans le même temps nous enfonçons le système scolaire dans un constat d'échec, sans toujours accepter qu'il s'agit peut-être du symptôme d'un échec plus global de la mission éducative de l'ensemble de la société. Car l'éducation est bien plus vaste que l'école et sur ce sujet l'Église a non seulement un discours spécifique mais aussi une forte expérience. Que l'on songe bien sûr à l'enseignement catholique, mais aussi à toutes ces congrégations religieuses (jésuites, eudistes, assomptionnistes, frères des écoles chrétiennes etc.) qui ont souvent été des lieux d'innovation pédagogique."
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CNESCO - Synthèse Ile de France - Panorama des inégalités scolaires d'origine... - 0 views

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    Les inégalités scolaires d'origine territoriale sont peu explorées et demeurent taboues dans une République une et indivisible. Aussi, le Cnesco a conduit une évaluation très fine des disparités scolaires d'origine territoriale en Île-de-France en se fondant sur la plus petite unité géographie établie par l'Insee, appelée IRIS ou plus communément, quartier. Ce découpage permet de révéler des inégalités invisibles à des niveaux d'études territorialement plus agrégés (par exemple au niveau communal). Cette évaluation s'est appuyée sur un éclairage national des inégalités socio-spatiales à l'école. Elle révèle que dans des contextes socio-spatiaux et démographiques inégaux, l'Éducation nationale et les collectivités territoriales déploient des ressources (humaines, budgétaires, offre de formation…) qui s'avèrent très variables selon les territoires. Ces fortes inégalités de ressources éducatives se développent aux côtés de disparités importantes dans l'orientation et la réussite scolaire.
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CNESCO - Synthèse France - Eclairage sur certaines inégalités scolaires d'ori... - 0 views

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    Les inégalités scolaires d'origine territoriale sont peu explorées et demeurent taboues dans une République une et indivisible. Aussi, le Cnesco a conduit une évaluation très fine des disparités scolaires d'origine territoriale en Île-de-France en se fondant sur la plus petite unité géographie établie par l'Insee, appelée IRIS ou plus communément, quartier. Ce découpage permet de révéler des inégalités invisibles à des niveaux d'études territorialement plus agrégés (par exemple au niveau communal). Cette évaluation s'est appuyée sur un éclairage national des inégalités socio-spatiales à l'école. Elle révèle que dans des contextes socio-spatiaux et démographiques inégaux, l'Éducation nationale et les collectivités territoriales déploient des ressources (humaines, budgétaires, offre de formation…) qui s'avèrent très variables selon les territoires. Ces fortes inégalités de ressources éducatives se développent aux côtés de disparités importantes dans l'orientation et la réussite scolaire.
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Revue Esprit - L'école peut-elle sauver la démocratie ? de François Dubet , M... - 0 views

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    "Avec un titre aussi frappant, on comprend d'emblée que l'essai de François Dubet et de Marie Duru-Bellat ne se réduit pas au bilan de soixante ans de massification scolaire en France, mais se penche sur les mutations irréversibles que cette massification a engendrées. En effet, au-delà du drame des vies gâchées, les conséquences d'une école loin d'être aussi juste qu'elle le pourrait et le devrait affectent la société tout entière en créant des clivages très profonds. Le rôle différenciateur de l'institution entre en tension chronique avec son rôle intégrateur, comme le montrent les auteurs, ce qui rend la scolarité intrinsèquement anxiogène. Le niveau de diplôme représente actuellement la discrimination sociale la plus forte et la moins prise en considération sur le plan politique. Un tel essai propose donc une contribution de la sociologie politique de l'école, qui confère au populisme des origines indubitablement scolaires."
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Institut Montaigne - La France et PISA : peut mieux faire - 0 views

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    "Les résultats de la dernière enquête PISA (Programme international pour le suivi des acquis), réalisée en 2018, confirment la situation du système éducatif français : le niveau des élèves est légèrement au dessus de la moyenne des pays de l'OCDE et les inégalités sont encore très fortes. Que retenir de cette dernière édition ? Analyse avec Christophe Gomes, directeur d'Agir pour l'école."
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Les 100 ans de L'ICOF - Diocèse de Lyon - Le site de l'Église Catholique dans... - 0 views

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    "A l'occasion de leur centième anniversaire, l'ICOF propose plusieurs temps forts les 17, 18 et 19 novembre. L'ICOF appartient au réseau des établissements des Ursulines de France-Belgique. Leur projet s'appuie sur les valeurs pédagogiques diffusées par leur fondatrice, Angèle Mérici (1474-1540), qui aimait dire « Soyez des éducateurs heureux entre vous au milieu de jeunes heureux et pleins d'espérance ». Leur ambition, accueillir et accompagner chaque jeune, pour qu'il puisse se construire et grandir."
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Amiens - Fort Manoir pour les primaires - 0 views

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    "Fort Manoir ce n'est pas que pour les plus grands! Cette année et pour la première fois, les élèves de primaire et de 6ème sont invités le 29 mai à jouer, rêver et chanter avec Saint François d'Assise. Rencontre avec Anne-France Hun, coordinatrice du projet pour l'Enseignement catholique de la Somme qui nous explique la génèse du projet."
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Vers le Haut / OpinionWay - Résultats - Baromètre Jeunesse et Confiance - 0 views

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    L'optimisme des jeunes se renforce mais jeunes & parents attendent un nouveau pacte éducatif 1- Un regain d'optimisme général des jeunes et des parents 2- Malgré des progrès, les parents toujours inquiets pour l'avenir de leurs enfants 3- Un optimisme "individualiste" : les jeunes prêts à partir si la France n'est pas au rendez-vous 4- Le décrochage d'une partie des jeunes laissés sur le bord de la route 5- Une espérance à ne pas décevoir : l'attente forte d'une nouvelle approche dans l'éducation associant davantage la société civile 6- Le grand écart école-entreprise se creuse encore
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